La Première rediffuse ses meilleurs moments: culture, invités, histoire, voyages, cuisine, humour.
Et toutes les heures, un résumé de l'actualité
Un réveil chaleureux orchestré par Charlotte Dekoker, pour commencer la journée avec des découvertes culturelles, balades, sciences, bouquins, jardin, cuisine, sorties... Et tous les dimanches, un artiste à la table de votre petit-déjeuner. De quoi vous concocter le programme idéal pour votre fin de semaine... Mais aussi les jours fériés !
Cantona, du football et du Kung-fu / Éric Cantona a-t-il perdu la tête en 1995 ? L'Histoire continue revient sur ce que la presse anglaise a baptisé « le Kung Fu Kick » d'Éric Cantona. Le 25 janvier de cette année-là, Manchester United jouait contre Crystal Palace. L'équipe de Manchester vise la première place du championnat anglais. Mais ce soir-là, son attaquant star Éric Cantona fait du Kung Fu dans les tribunes plutôt que du football sur le terrain. Col relevé, le Français se rue vers un supporter qui l'invective et lui assène un violent coup de pied sur le torse. Au lendemain de la bagarre, c'est la stupeur. Éric Cantona écopera d'une condamnation mais le « bad boy » revendiquera presque son geste. L'agression de ce hooligan anglais était-elle selon lui justifiée? Retour sur un pétage de plomb devenu culte, un tournant dans la carrière de l' «icône» Cantona en compagnie du journaliste Himad Messoudi et du consultant sportif et ancien joueur de football Frédéric Waseige.
Présentation : Hélène Maquet et Bertrand Henne. Réalisation : Guillaume Desmet.
Le Rwanda à l'heure de la culture / Danse, théâtre, cinéma, musique, littérature ou encore arts culinaires... Cette semaine nous vous faisons vivre la première Triennale de Kigali !
Que peut l'art, 30 ans après le génocide des Tutsi ? Qu'invente la nouvelle génération ? Quels sont les liens que la culture rwandaise tisse avec le reste de l'Afrique et du monde ?
Rendez-vous ce samedi au pays des mille collines pour un numéro spécial de Dans quel Monde on vit.
La ferme de la démesure : des cochons chinois à la pelle
Les frites viennent des patates, dans les coulisses de notre alimentation
Léonard De Vinci, le gastronome / Mais qu'il fait bon être cochon en 2024 ! On a beau le dire, il est urgent de revoir notre consommation carnée. Sur papier, bien joli sauf qu'à l'échelle mondiale, cette frénésie de viande porcine semble ne pas se tarir. Tant et si bien que la Chine a mis les petits plats dans les grands, pour en produire à jusqu'à plus faim ! Et ne vous inquiétez pas pour la place, ils en ont ! Imaginez un immeuble avec quelques 650 000 petits cochons (objectif poursuivi : 1,2 millions !) . Du rêve boueux, à la ferme cauchemar, bienvenu dans la triste réalité. Nous y filons avec Carlo De Pascale et l'occasion faisant le cochon, peut-être utile de pousser la réflexion un peu plus loin.
Une empêcheuse de manger en rond, sorte de lanceuse d'alerte sur ce qui se trame dans les arrière-cuisines de notre alimentation. Depuis l'agrobusiness qui s'engraisse lui aussi, comme cochon bien nourri , de ce que nous ne savons ou ne soupçonnons pas sur les labels, les prix, les élevages, l'industrialisation, ses effets sur nous, l'environnements, les agriculteurs... Avec nous ce samedi Laure Ducos et un livre pour appuyer le propos « Les frites viennent des patates. Dans les coulisses de notre alimentation.»
Léonard De Vinci, le génie universel. Celui qui réunira toutes les connaissances de la Renaissance et de l'histoire. Peinture, anatomie, sciences, architecture... rien ne l'aura plus fasciné. Mais que connaissons nous de son rapport à la nourriture ? A la gastronomie ? Plongeons dans l'assiette du grand maitre dans un instant à l'occasion de l'ouverture d'une expo lui étant dédiée en ce moment à la Liège !
« Da Vinci, l'artiste, l'ingénieur, le gastronome » nous en parlerons avec le commissaire de l'expo : Jean-Christophe Hubert.
Food-Team du samedi : Sophie Moens/ Carlo De Pascale/ Laure Ducos/ Jean-Christophe Hubert
Joachim Decoster et Delphine Houdemont à la réalisation
Stéphane Delhougne à la production
Alexandra Vassen à la programmation musicale.
Nous irons d'abord en Colombie, pour nous intéresser au trafic de drogues. Le pays reste le premier producteur de cocaïne au monde, mais les drogues de synthèse sont de plus en plus présentes, et notamment le tusi qui fait des ravages. Un reportage de Najet Benrabaa.
Nous serons ensuite à la frontière serbo-croate, sur la fameuse route des Balkans empruntée par de nombreux migrants qui cherchent à entrer dans l'Union européenne. La Serbie est aujourd'hui une véritable prison à ciel ouvert pour ces migrants. C'est un reportage de Clémentine Méténier.
Enfin comment traiter au mieux l'obésité ? Dans les Hauts de France, plus d'une personne sur 5 est concernée. Alors un réseau régional multidisciplinaire s'est mis en place. C'est ce que nous verrons du coté de Lille et Amiens avec Lise Verbeke.
Nous sommes le 28 mars 1933, à Berlin.
Quinze jours plus tôt, Joseph Goebbels est devenu ministre de l'Education du peuple et de la Propagande.
Alors que le boycott antisémite mis en place par les nazis, doit entrer officiellement en vigueur le 1er avril, il écrit dans son journal :
« Le cinéma ne peut redevenir sain que s'il revient à sa germanité et cherche les racines de sa force dans la nature allemande . »
Le soir même, à l'hôtel Kaiserhof, devant le gratin du septième art, Goebbels annonce le programme des années à venir :
« Nous sommes là, maintenant, martèle-t-il, nous ne partirons plus !
La révolution nationale ne se limitera pas uniquement à la politique, elle s'étendra aussi au cinéma. »
Et c'est ainsi que comédies, mélodrames, films d'amour, musicaux ou policiers vont constituer le gros de la production du cinéma sous le national-socialisme, supplantant, en nombre, les films franchement antisémites et les documentaires, comme ceux de Leni Riefenstahl, exaltant la grandeur des aryens.
Une industrie donc qui fait la part belle au divertissement, à l'image de la grande rivale hollywoodienne, que les studios de Babelsberg rêvent de concurrencer.
Le cinéma allemand, au plus sombre de l'histoire du pays et de l'Europe, va connaître une sorte d'âge d'or.
En effet, jamais il n'y eut autant de magazines pour parler de ses stars.
Des actrices, notamment, adulées comme des icônes.
Des déesses païennes que les nazis vont utiliser pour leur pouvoir de fascination sur le peuple allemand afin de lui faire oublier les horreurs de la guerre.
Qui sont ces actrices ?
Quels archétypes incarnent-elles ?
Ont-elles été conscientes de la nature du régime auxquels elles ont participé ?
Que sont devenues, après la guerre, les Zarah Leander, Marianne Hoppe ou Lilian Harvey ?
Regardons en face un univers de paillettes et de torrents de sang...
Invitée : Isabelle Mity, enseigne la langue et la civilisation allemandes à l'Université Paris-Dauphine.
Autrice de : « Les actrices du IIIe Reich - Splendeurs et misères des icônes du Hollywood nazi » aux éditions Perrin.
Coline Struyf et Amel Benaissa pour le festival "Métamorphose" et Quantin Meert et Jessica Fanhan pourle focus " Meuf power" / Le programme de l'émission Kiosk de ce samedi 24 février.
Présentation : Cindya Izzarelli
Invité.es : Coline Struyf et Amel Benaissa pour le festival "Métamorphose" et Quantin Meert et Jessica Fanhan pourle focus " Meuf power"
Métamorphose:
« Pour la deuxième saison consécutive, le Varia vous donne rendez-vous pour célébrer le changement de saison, et le réveil de la nature qui fait vibrer nos corps.
Profitant du printemps qui arrive, comment préparer nos regards à la richesse du vivant qui bourgeonne autour de nous ? Quels nouveaux rêves fleurissent, dans les recoins de nos imaginaires engourdis par l'hiver ? Comment réapprendre à dialoguer avec nos failles et nos vulnérabilités, et à y ancrer solidement nos racines pour laisser éclore, en nous, de nouveaux espoirs et de nouveaux récits ?
Spectacles, performances, lectures, rencontres... Le temps d'un petit festival rempli de propositions inattendues, nous sommes heureux·ses de vous inviter à découvrir, au Théâtre et au Studio, un fourmillement d'expériences sensibles et surprenantes, pour fêter la joie de nous retrouver, rire aux éclats et traverser ensemble de nouvelles émotions. »
Jardin :
"La mort d'une plante verte peut-elle bouleverser notre rapport au monde ? Une invitation joyeuse à ouvrir nos regards sur la richesse du vivant qui nous entoure.
C'est l'histoire d'Izrar, une femme active et citadine qui suite à la mort de sa plante, va reconsidérer ses valeurs fondamentales.
Tout commence par un accident. Izrar a reçu une plante verte en cadeau. Mais pour cette femme, qui n'a jamais habité ailleurs qu'en ville et ne connaît rien à la vie végétale, la jolie plante, réputée increvable, ne devient rien d'autre qu'un objet de déco dans son appartement. Aux prises avec son quotidien, Izrar l'oublie dans un coin de son salon, négligeant de l'arroser et la laissant mourir à petit feu.
4 ans après les faits, Izrar mène l'enquête. Comment en est-elle arrivée à négliger cette plante devant laquelle elle passait pourtant tous les jours ? Accompagnée de son voisin Travik, un brin envahissant, Izrar décortique la situation. Elle nous raconte son histoire mais ne cesse de se faire interrompre par les passages réguliers de son propriétaire, Hermano, qui a pris l'habitude de rentrer sans prévenir.»
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Meuf power:
« Quels sont les enjeux du féminisme ? Du 9 au 30 mars, L'Ancre donne la parole aux femmes lors du Focus Meuf Power : cinq spectacles et des activités citoyennes pour questionner les droits des femmes.
A travers le théâtre et la danse, la programmation artistique du Focus Meuf Power aborde des thématiques essentielles aux grands combats féministes : identité, empouvoirement, transmission, combativité, violences sexuelles, délégitimation de la parole des femmes... »
Belle dame (de l'ignorance à la connaissance) - JESSICA FANHAN :
Avec poésie et humour, ce conte envoûtant retrace le voyage d'une femme plongeant dans les mystères de l'île de ses ancêtres pour se redécouvrir et raviver la magie qui peuple son héritage.
Un jour, une jeune femme reçoit une lettre de sa grand-mère qui l'invite à la rejoindre sur son île. Elle ne la connait que de réputation, mais on prétend qu'elle était une sorcière, une « Belle Dame ». Surmontant ses peurs, la jeune femme décide d'entamer ce grand voyage. Guidée par l'esprit de son aïeule, elle se glisse dans les pas de cette étonnant.e sorcière, figure féminine puissante et indépendante. Commence alors une quête initiatique durant laquelle Belle Dame, cette descendante d'esclaves, renouera avec son identité et ses racines pour se métamorphoser en une héroïne contemporaine, mystérieuse et émancipée."
27 et 28 mars
Sarah Thery : « S 62° 58', W 60° 39' » de la compagnie Peeping Tom
Cédric Wautier: "Fallait pas l'dire" aux Galeries
Robert Badinter en 1980 / L'austère Robert Badinter, tout cuirassé par le droit et une haute idée de sa mission, s'était adouci avec l'âge, noyé dans des souvenirs et des lectures innombrables, marchant dans les pas de ses ombres familières, Condorcet et Fabre d'Eglantine, à deux pas de ce Sénat où il a siégé et dont il connaissait tous les détours - au point que c'était à se demander s'il n'avait pas jadis siégé à la Convention. Robert Badinter, qui restera d'abord comme l'homme qui a aboli la peine de mort, s'est éteint dans la nuit du 8 au 9 février, à Paris, à l'âge de 95 ans.
Conversation un an avant l'abolition de la peine de mort en 1980 avec Michèle Cédric.
Une jolie façon de mettre en avant l'offre de podcasts de La Première.
Photos, tableaux, dessins, publicités,... : comment le lieu d'écriture des écrivains inspire et influence leur création littéraire ? / «Murs d'images d'écrivains » restitue des lieux d'écriture de grands noms de la littérature de la fin du 19ème siècle à aujourd'hui. Ces auteurs et autrices ont accroché aux murs de leur environnement de travail des images de toutes sortes : photos, cartes postales, articles de journaux, tableaux, publicités, ... Comment ces murs d'images ont-ils influencé et influencent-ils encore la création littéraire ? Que disent ces images du lien de l'homme et/ou de la femme de lettres à la culture visuelle de son temps ? Les deux commissaires de l'exposition au Musée L sont les invitées de Fabienne Vande Meerssche dans Les Éclaireurs : Jessica Desclaux, Chargée de recherches au FNRS et chercheuse associée au programme Handling & Anne Reverseau, Chercheuse Qualifiée FNRS au Centre de Recherche sur l'Imaginaire de l'UCLouvain, directrice du projet Handling, qui étudie la figure de l'écrivain iconographe et tous les types de relations des écrivains aux images concrètes.
Plongez au cœur d'une affaire criminelle terrifiante qui secoua Gloucester dans les années 90. Lorsque Steven Burnside, un jeune policier, croise le chemin d'une adolescente troublée, il est loin de se douter que cela déclenchera une série d'événements cauchemardesques. Entre enlèvements, meurtres, abus sexuels et secrets familiaux, suivez l'enquête haletante d'Azel Savage qui tente de démêler les sombres mystères de la famille West. Alors que la vérité semble sur le point d'éclater, rien ne la prépare à l'horreur qui se cache sous la tranquille Cromwell Street. Préparez-vous à plonger dans les abysses de l'âme humaine.
Sacré français! continue sa mission de défricheuse de talents et de tendances musicales en français dans le titre.
Pour les petits et les grands curieux de découvertes, créations, nouveaux sons et expérimentations, Alexandra Vassen cherche (et trouve) ce qui se fait de mieux sur la scène francophone.
En Quête de Sens est un magazine qui accueille tour à tour les émissions Libres, ensemble (Centre d'action laïque), Il était une Foi (CathoBel), La Voix protestante (Association protestante de radio et télévision), Orthodoxie (Eglise orthodoxe en Belgique), Shema Israel (Consistoire central israélite de Belgique).
En compagnie de ses invités, Pascal Claude prend le temps de vous raconter autrement le monde en mouvement et nos vies mouvementées. Il reçoit des écrivains, cinéastes, musiciens, philosophes, journalistes, essayistes, .... Et pour cette neuvième saison de " Dans quel Monde on vit ", la journaliste Juliette Goudot rejoint la bande des auteur.e.s d' " En toutes lettres ! ". Tout comme l'écrivain et historien Gil Bartholeyns, la journaliste et écrivaine Pascale Clark, l'écrivaine et membre du groupe Catastrophe Blandine Rinkel, elle viendra vous proposer régulièrement des lettres adressées aux personnes - ou choses - de son choix: qu'elles occupent le devant de l'actualité ou qu'elles méritent de ne plus être ignorées.
Chaque semaine, ICI Radio-Canada Première, RTS La 1ère, La Première de la RTBF et France Inter proposent à 3 millions d'auditeurs du monde entier une émission culturelle innovante autour de la culture à travers les livres.
Éric Cantona a-t-il perdu la tête en 1995 ? L'Histoire continue revient sur ce que la presse anglaise a baptisé « le Kung Fu Kick » d'Éric Cantona. Le 25 janvier de cette année-là, Manchester United jouait contre Crystal Palace. L'équipe de Manchester vise la première place du championnat anglais. Mais ce soir-là, son attaquant star Éric Cantona fait du Kung Fu dans les tribunes plutôt que du football sur le terrain. Col relevé, le Français se rue vers un supporter qui l'invective et lui assène un violent coup de pied sur le torse. Au lendemain de la bagarre, c'est la stupeur. Éric Cantona écopera d'une condamnation mais le « bad boy » revendiquera presque son geste. L'agression de ce hooligan anglais était-elle selon lui justifiée? Retour sur un pétage de plomb devenu culte, un tournant dans la carrière de l' «icône» Cantona en compagnie du journaliste Himad Messoudi et du consultant sportif et ancien joueur de football Frédéric Waseige.
Présentation : Hélène Maquet et Bertrand Henne. Réalisation : Guillaume Desmet.