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Fred Bernard pour "La Vie secrète des arbres" et Stacel EP "Overblue" / Le programme de l'émission Le Mug de ce mardi 07 novembre
Présentation : Xavier Vanbuggenhout
09h10 - Le Mug d'ouverture : Fred Bernard pour « La Vie secrète des arbres » en BD paru aux éditions « Les Arènes »
Peter Wohlleben est le forestier le plus célèbre du monde, auteur du best-seller La Vie secrète des arbres, traduit dans plus de quarante langues. Ce livre est son histoire. Avec un formidable talent de conteur, il nous plonge dans l'intimité des arbres, jusqu'à leurs racines. Au fil des pages, il nous entraîne à la découverte de l'extraordinaire fonctionnement de la forêt : comment les arbres interagissent, communiquent, se déplacent et se défendent. La Vie secrète des arbres nous donne accès à un monde merveilleux mais fragile. Protéger les arbres, c'est protéger l'humanité tout entière.
09h30 - Chronique 1 : Cindya Izzarelli pour sa séquence « Cherchez la femme »
09h40 - Le Mug découverte : Stace pour son nouvel EP "Overblue"
Elle est chanteuse, auteure, compositrice, productrice et même réalisatrice, STACE avec sa palette de compétences est de retour pour un nouvel EP, "Overblue" un peu plus d'un an après le premier succès de "Green Onyx".
Bercée par le jazz depuis qu'elle a 4 ans, entourée d'artistes et intéressée par une riche variété de genres musicaux, il était normal que le fruit de cela donne une artiste hors du commun avec un projet à la fois puissant et très doux. En passant par le hip-hop et le RNB, STACE a élargi son parcours personnel vers la musique électronique et le rock alternatif, tout ça pour arriver au subtil mélange qui compose "Overblue" où elle explore toutes ces inspirations.
09h50 - Chronique 2 : Gorian Delpature pour sa séquence « Des livres et moi »
Le Dossier: Les Belges et l'argent / LES TRIBUS
Après avoir décomposé, analysé et désacralisé l'orthographe française, Arnaud Hoedt et Jérôme Piron s'interrogent sur l'école. Ils jettent un regard naïf mais nécessaire, désinvolte mais documenté sur ses fondements, ses valeurs et ses enjeux. Présentation de « Kevin », au théâtre Les Tanneurs jusqu'au 18 novembre.
LE DOSSIER
Les Belges et l'argent
Quel rapport le belge entretient-il à l'argent. Ou plutôt quel rapport les Belges entretiennent-ils à l'argent et la finance. Difficile en effet de tirer des conclusions communes à l'ensemble de la population. D'où l'intérêt de cette nouvelle enquête du bureau Wide qui interroge les différents scénarios actuels et d'avenir... et le moins que l'on puisse dire, c'est que certaines tendances semblent se confirmer, certains profils se démarquent. Pour en parler, Martine Clerckx, sociologue et responsable e l'enquête. Et Philippe Defeyt, économiste.
TENDANCEURS
Eric Willem, famille d'accueil, s'attarde sur les difficultés rencontrées quand on est parent solo et que son enfant tombe malade.
Alexis Salatko / Il publie son roman "Jules et Joe", un portrait croisé de deux artistes, Jules et Joe Dassin, une exploration poignante d'une relation père-fils et un voyage nostalgique à travers le XXe siècle...
Bagarre dans la Discothèque spéciale Équipe d'Entrez sans frapper VS comédien.ne.s belges.
Ce mardi : Valérie Bauchau et Nicolas Herman.
Et dès midi :
"Il était une fois..." de Nicolas Herman : ll était une fois The Sugarhill Gang qui met en lumière le terme Hip-Hop...
L'écrivain français Alexis Salatko pour son roman "Jules et Joe" (Denoël).
Hollywood Forever Cemetery, 20 août 1981. Un vieil homme cherche la tombe de son fils. L'homme est Jules Dassin, grand cinéaste américain qui, un an plus tôt, a enterré ici Joe Dassin, chanteur au succès planétaire emporté par un infarctus à l'âge de quarante ans. Au crépuscule de sa carrière, Jules a une idée de documentaire : pour rendre hommage à Joe, il évoquera tous les 20 août de sa vie trop brève.
Portrait croisé de deux artistes farouchement indépendants, ce roman est avant tout une exploration poignante d'une relation père-fils et un voyage nostalgique à travers le XXe siècle.
Le coup de coeur de Gorian Delpâture : « Fuck Up » d'Arthur Nersesian (La Croisée).
Un he¿ros loin d'e^tre parfait qui, largue¿ par sa petite-amie et sans boulot, se met a` errer dans l'East Village et ses cinémas miteux, trouvant un lit au fil de rencontres avec la faune locale : écrivain raté, yuppie de Wall Street, éditeur snob, gourou new age, réalisateur arty... Notre héros, lui, cherche sa voie et s'invente une vie au gré des situations. Mais a` trop marcher au hasard, on arrive au bord de l'abîme.
13h15 : Aux sources de l'impôt en Belgique
Nous sommes le vendredi 14 décembre 1832, à la Chambre des représentants.
La jeune Belgique s'est dotée d'un système fiscal influencé par les idées des Lumière et étroitement lié au système électoral censitaire.
C'est-à-dire que seuls les citoyens dont le total des impôts directs dépasse un seuil, appelé cens, sont électeurs.
Lors de la séance du jour, il est, entre autre, prévu d'évoquer la nécessité d'une réforme du système des impôts.
Sujet hautement inflammable.
Le député libéral Jean Pirmez l'a bien compris et déclare :
« Messieurs, on a beaucoup reproché aux différents ministres, qui se sont succédé depuis la révolution, de n'avoir pas proposé un autre système d'impôt (...).
Ce n'est pas dans les commotions publiques, lorsque les gouvernements sont sans force, qu'on peut tenter de pareils changements.
Les impôts établis depuis longtemps, quelque absurdes et vexatoires qu'ils aient paru dans le commencement, sont toujours... / Nous sommes le vendredi 14 décembre 1832, à la Chambre des représentants.
La jeune Belgique s'est dotée d'un système fiscal influencé par les idées des Lumière et étroitement lié au système électoral censitaire.
C'est-à-dire que seuls les citoyens dont le total des impôts directs dépasse un seuil, appelé cens, sont électeurs.
Lors de la séance du jour, il est, entre autre, prévu d'évoquer la nécessité d'une réforme du système des impôts.
Sujet hautement inflammable.
Le député libéral Jean Pirmez l'a bien compris et déclare :
« Messieurs, on a beaucoup reproché aux différents ministres, qui se sont succédé depuis la révolution, de n'avoir pas proposé un autre système d'impôt (...).
Ce n'est pas dans les commotions publiques, lorsque les gouvernements sont sans force, qu'on peut tenter de pareils changements.
Les impôts établis depuis longtemps, quelque absurdes et vexatoires qu'ils aient paru dans le commencement, sont toujours regardés avec moins d'aversion que les nouveaux impôts qu'on leur substitue.
(...) Et remarquez bien qu'il n'existe rien de plus attaquable qu'un impôt ».
Créer, augmenter, diminuer, supprimer un impôt est un choix crucial dans la politique menée par les pouvoirs en place.
Au XIXe siècle, la Belgique a une fiscalité faible ce qui lui permet d'attirer les fortunes étrangères.
Le siècle suivant est marqué, notamment, par une augmentation de la pression fiscale sur le travail.
Quelles ont été les influences des milieux industriels, financiers et sociaux sur les décisions prises ?
Quelles rôles les conflits, comme 14-18, ont-ils tenu ?
En quoi la bataille idéologique autour de l'école a-t-elle été déterminante dans la gestion de l'impôt ?
Invité : Simon Watteyne, chargé de recherches en histoire contemporaine à l'ULB.
« Lever l'impôt en Belgique - Une histoire de combats politique (1830-1962) ; CRiSP (Centre de recherche et d'information socio-politiques).
14 heures : La folle semaine de Lucile Poulain
Jean-Sébastien Bach fait de la prison, l'Irlande élit sa première femme présidente en 1990, Led Zeppelin fait trembler les évangélistes dans les années 70, la résistance belge s'offre un faux journal en 43, et Giuseppe Verdi reçoit l'ordre de Saint-Stanislas par les Russes. Voici les gros titres de la folle semaine qui nous attend !"
Valentine Jongen propose une émission musicale avec des morceaux qui ont fait et qui font encore l’histoire de la musique. L’histoire de la pop, du rock, du jazz, de la musique classique... Le tout agrémenté d’anecdotes, de liens entre les artistes et d’une touche musicologique. Chaque après-midi, il y en aura pour tous les goûts avec une multitude de tubes.
BARBARA / « Il voulait avant de mourir se réchauffer à mon sourire
mais il mourut à la nuit même
sans un adieu
sans un je t'aime.
Et je me souviens...
Donne moi ta main »
Derrière ces mots qui semblent des mots d'amour presque anodins se cache la réalité d'une enfance volée. D'une vie brisée.
« Et je me souviens... » tait l'enfer.
Ce soir du 5 novembre 1963, pour la première fois, sur la scène du théâtre des Capucines, l'une des plus grandes chanteuses françaises de son temps, Barbara, chante le titre du pardon à son père.
Le pardon de l'inceste évoqué dans les métaphores de ses textes pudiques.
Barbara semble défaillir : nous sommes le 5 novembre, il est un peu plus de 21H, c'est l'Heure H de notre histoire.
Qui a dit que l'école était finie? En théorie, c'est Sheila. En pratique, il y a rattrapage sur La Première! Dès 16h, Walid fait la classe et devient votre nouveau maître des colles. Plus qu'un jeu, un état d'esprit complètement yéyé qui voit une bande d'élèves plutôt potaches retourner sur les bancs de l'école pour vous offrir votre récréation de fin d'après-midi. Divertissez-vous avec le jeu antisèche qui vous fera aimer l'école!
Un magazine info pour décoder, débusquer et débattre avec l'objectif de mieux comprendre l'actualité, élargir les horizons, bref... provoquer des déclics.
Hela Ouardi : "Aux origines de l'islam. Muhammad et le califat" / Par ces temps bien troublés, il est difficile de parler de l'Islam et de sa possible réforme.
Est-elle possible ? C'est la question que pose Eddy Caekelberghs à Hela Ouardi, sociologue et spécialiste des religions et de l'Islam.
Elle publie ¿Aux origines de l'islam. Muhammad et le califat¿ - Académie royale de Belgique.
A noter que cet entretien a été enregistré avant l'assassinat du Professeur Dominique Bernard et avant les attentats terroristes du Hamas.
Au menu, tout ce qui attise l'insatiable curiosité du duo : les nouvelles tendances de l'industrie du divertissement, l'évolution du cinéma, le monde de l'image, de la BD aux expos en passant par les phénomènes digitaux et les festivals. Avec la participation d'invités-surprises. Le tout emballé avec l'inimitable ton 5 Heures, évidemment !
Jean-Luc Thomas et Gab Faure / Malika Zarra / Amateurs de musiques celtiques, vous allez être ravis de partager de belles minutes avec le souffleur Jean-Luc Thomas et le violoniste Gab Faure. Ils ont réalisé le disque `Gwiad' contenant des compositions et de multiples influences... Gwiad signifie Tissage. Le disque est à l'image d'un patchwork, d'une mosaïque, d'un kaléidoscope. Conversation et écoute du disque ce soir.
Malika Zarra, chanteuse marocaine, est basée à New-York. Elle nous soumet son nouveau disque `RWA', co-produit par le musicien et producteur Alune Wade. Mamani Keita, chanteuse malienne l'a rejointe également en studio. Le disque est interprété en Darija, Amazighe, Français et Malgache.
Alexandra Vassen continue sa mission de défricheuse de talents et de tendances musicales en français dans le titre. Pour les petits et les grands curieux de découvertes, créations, nouveaux sons et expérimentations, elle cherche (et trouve) ce qui se fait de mieux sur la scène francophone.
Le monde de Federico Fellini, 2/5 - La Dolce Vita / 1960 : un film sème le trouble en Italie, ce film c'est la Dolce Vita. Fellini se fait agresser à Milan à la sortie du film qui est condamné par le Vatican. Le film sera présenté à Cannes où il sera à la fois hué et remportera la Palme d'or. Rupture tant dans le parcours de Federico Fellini que dans l'histoire du cinéma.
Une réalisation d'Alexandra Longuet
Avec Jean Gili, historien et critique de cinéma, Sam Stourdzé, directeur du Musée de l'Elysée de Lausanne, Dominique Dellouche, assistant de Federico Fellini, mais aussi le réalisateur lui-même et son double à l'écran Marcello Mastroianni, Camilla Cederna, et Alberto Moravia.
Un talk-show culturel dans une ambiance décontractée.
